trigger warning : tw joués : écrire ici. je ne veux pas jouer : écrire ici.
pronom : she/her
âge : vingt-huit ans (4 mars 1993)
statut civil : en couple, elle a eu du mal à y croire sur le moment, des années qu’elle rêvait de poser ses lèvres sur les siennes, de glisser sa main dans la sienne. huit mois qu’elle a l’impression de ne pas toucher le sol. il y a bien une ombre au tableau, une présence impossible à ignorer, mais elle essaie de ne pas y penser.
orientation : hétérosexuelle, elle n’y a jamais vraiment réfléchi, mais ce sont toujours des hommes qui ont ravi son cœur.
gif :
occupation : pâtissière au crabapple cafe.
habitation : #85 cheeky road avec maman carlson, sans savoir si elle reste parce que sa mère a besoin d’elle, ou parce qu’elle ne supporterait pas de vivre seule.
en vrac : Les études n’ont jamais été son fort. › Delilah, c’est la bonne copine, celle qui a toujours le sourire et qui fera tout ce qu’elle peut pour adoucir votre journée. › Delilah n’a jamais eu trop de chance en amour. › Le printemps est sa saison favorite. › Quand elle n’est pas aux fourneaux, Delilah passe beaucoup de temps sur son téléphone, à naviguer sur Instagram. › En dehors des pâtisseries, Delilah n’est pas une très bonne cuisinière. › Elle aimerait adopter un chien, mais sa mère refuse. › Elle a toujours fait pas mal de sport, sans jamais exceller nulle part. › Elle utilise beaucoup (trop) d’émojis. › Elle fumait un peu, il y a quelques années, mais elle a arrêté quand elle a commencé à pâtisser, ne voulant pas que ça altère son goût. › Elle a un petit cupcake tatoué sur le côté de son avant-bras. › Elle aime lâcher prise sous les néons, les yeux fermés et le corps qui ondule au rythme de la musique. › Elle aimerait faire de la plongée sous-marine et retrouver son père, ou au moins savoir qui il est. › Delilah n'a pas le permis et se déplace presque exclusivement à vélo.
· together is my favorite place to be (xander) Dim 18 Avr - 22:24
- together is my favorite place to be - @Xander De Luca . . . . . . . . . . . . . . .
L’idée avait commencé à fleurir dans un coin de sa tête dès les premières lueurs du jour. C’était une belle journée d’avril qui s’annonçait, le soleil avait l’air de vouloir être de la partie, et les températures étaient relativement douces pour la saison. Cela tombait bien, Delilah commençait à en avoir assez des gelées matinales et des averses inopinées qui rendaient ses trajets en vélo bien moins agréables. Alors en assistant à ce retour du beau temps, elle n’avait eu d’autres choix que de se lever du bon pied. Et c’était à ce moment-là que l’idée était apparue. Pour être honnête, elle avait hésité à la mettre en œuvre. Elle avait hésité toute la journée. Parce qu’on était en pleine semaine et qu’elle allait devoir se lever tôt le lendemain matin. Parce qu’il habitait à l’autre bout de la ville et qu’elle devait s’y rendre à vélo. Parce qu’il avait peut-être autre chose de prévu. Parce qu’il n’était peut-être même pas chez lui. Parce qu’il y avait des chances non négligeables de la croiser chez lui. Mais après avoir pesé le pour et le contre tout au long de la journée, Delilah se décida finalement à le faire. Il n’y avait pas de quoi en faire toute une histoire après tout : s’il n’était pas disponible pour la voir, elle n’aurait qu’à faire demi-tour, ce n’était pas si grave. En réalité, il y avait des chances que Delilah prenne cela comme un rejet, mais, well, Xander n’était pas obligé de le savoir, elle pourrait tout à fait se sauver la face et attendre d’être seule dans sa chambre pour se laisser aller. Ce ne serait pas nouveau, d’agir ainsi, c’était une comédie qu’elle connaissait par cœur, Delilah.
Alors une fois que le dernier client eut quitté le café, la pâtissière entreprit de glisser dans une boîte en ferraille quelques biscuits qui n’avaient pas été vendus. Elle essayait toujours de calculer les quantités au plus juste pour éviter d’avoir trop de restes, mais ses calculs étaient loin d’être infaillibles. Alors quand il restait des invendus, Anna et elle les récupéraient, puisqu’il valait mieux les distribuer à leurs proches plutôt que les jeter à la poubelle. Ce n’était certainement pas Xander qui allait s’en plaindre, pensa Delilah en refermant soigneusement la boîte, le sourire aux lèvres. Elle salua Anna, puis quitta le café en passant par la cour arrière, où son vélo l’attendait, comme chaque soir. Delilah n’avait jamais ressenti le besoin de passer son permis. Brackendale n’était pas une grande ville, et elle ne prévoyait pas de long trajet dans un futur proche - pas même dans un futur lointain d’ailleurs - alors à quoi bon dépenser dans un permis, une voiture ou une assurance quand elle pouvait tout faire en vélo.
Une fois arrivée devant le building qui abritait l’appartement de son petit ami, Delilah sentit son coeur commencer à battre plus rapidement. Fugitivement, elle se demanda si ça allait un jour s’arrêter ; les battements erratiques, les mains moites, les sourires idiots et les papillons dans le ventre. Au contact de Xander, elle avait l’impression de redevenir une adolescente, et elle n’arrivait pas à savoir si c’était plus mignon ou ridicule. Elle se dépêcha de monter la volée de marches qui menaient à son appartement, la vieille boîte en ferraille serrée contre sa poitrine. Avant de frapper à la porte, elle prit une profonde inspiration, puis attendit patiemment (avait-elle vraiment le choix) que Xander vienne lui ouvrir, si tant est qu’il était bien chez lui, évidemment. “Hey,” le salua-t-elle lorsque son visage surpris apparut dans l'entrebâillement de la porte. “Surprise !” Si elle tentait de le dissimuler derrière son enthousiasme habituel, Delilah craignait de bousculer les plans de son petit ami. “J’espère que je ne te dérange pas. Mais j’ai apporté des cookies,” ajouta-t-elle immédiatement en lui tendant la boîte qu’elle tenait encore dans ses mains. “Mais si le moment est mal choisi, je te laisse juste les cookies et on se verra plus tard.” Angoisse du rejet habilement dissimulé derrière sa bonhomie habituelle.
made by rivendell.
Xander De Luca
we've got something new
lost and insecure
messages : 77
pseudo : b_bulle (mel).
pronom irl : elle.
id card : d. o'brien @all souls.
personnage : permanent
multicomptes : aksel (r. pankow)
nbre de mots : tout dépendant des partenaires ; généralement entre 500 et 1000 mots ; suivant l'inspiration.
âge : vingt-neuf ans (04.04) ; tu traînes te converses sur le bitume. le nombre rond qui s’approche et que tu repousses par tous les moyens, comme si passer à une nouvelle décennie allait te faire grandir alors que tu n’en as pas la moindre envie.
statut civil : en couple ; tu l’aimes, tu crois. tu t’accroches à ce qu’elle est capable de te faire ressentir. tu l’aimes, du mieux que tu peux, pour oublier qu’y en aura toujours une autre dans un coin de ta caboche.
orientation : hétérosexuel ; t’as jamais éprouvé une quelconque attirance pour les hommes. y a que les femmes qui t’attirent. leurs grands yeux et leurs sourires. et quand elles rient, y a ton cœur qui chavire.
gif :
occupation : animateur 3D ; tu passes ta vie derrière deux ou trois écrans d’ordinateurs. tu donnes vie aux personnages, aux décors et objets des jeux vidéo.
habitation : #432 ; 1a ; outside ; appartement que tu partages avec ta meilleure amie et ton chien. assez d'espace pour vous trois sans que vous ayez besoin de vous marcher dessus. c'est pas le grand luxe pour autant. juste ce qu'il faut. que tu persistes à dire.
· Re: together is my favorite place to be (xander) Lun 19 Avr - 3:47
- together is my favorite place to be - @Delilah Carlson . . . . . . . . . . . . . . .
t'as beau être rentré chez toi, t'as quand même continué à bosser. y a quelques incohérences sur les designs du jeu vidéo sur lequel tu travailles en ce moment. t'as eu envie de poursuivre les corrections, en bon minutieux que tu es. petit génie de la création, tu ne comptes jamais tes heures. c'est p'tre bien ça, ton plus gros problème. ta vie dédiée à ton travail. plus une passion qu'une corvée finalement. peut-être pour ça que tu ne te forces jamais quand tu ramènes du boulot à l'appartement. et puis, ça t'occupe, aussi, le temps qu'eva n'est pas là. Parce que oui, tu l'attends, avant de te coller devant netflix. délicate attention, n'est-ce pas ? t'es aux petits soins gamin. pour une meilleure amie qui ne te verra sans doute jamais comme tu la vois. pour une meilleure amie qui ne sera sans doute jamais rien de plus que ça. c'est pourtant pas faute d'essayer d'avancer. la couple que tu formes avec la jolie pâtissière devrait te soulager. ou tout du moins t'aider. la poupée qui n'a d'yeux que pour toi, qui ne voit que toi. si seulement une autre pouvait te regarder de la même manière. tu serais sans doute le plus heureux des hommes. et cette simple pensée te brise le palpitant. parce qu'elle n'a certainement pas mérité ça, delilah. pas mérité que tu l'entraînes avec toi dans une chute sans fin. pas mérité que tu la laisses croire que rien n'est impossible. tu la briseras xander. que tu le veuilles ou non. malgré toutes tes bonnes intentions. tu rêverais de pouvoir lui rendre au centuple tout cet amour qu'elle te porte. mais t'en es pas capable. toi qui ne pourra sans doute jamais aimer correctement qui que ce soit d'autre qu'eva. faudrait vraiment que tu tournes la page. exercice devenu bien plus compliqué que tu ne le pensais, dès lors qu'elle est revenue à brackendale. dès lors qu'elle s'est installée chez toi, occupant ta chambre et te laissant bredouille, sur ton canapé. django est étonnement calme. lui que tu n'as pas encore été promené, trop absorbé par ton art pour avoir eu la notion du temps écoulé depuis que t'es rentré. ce n'est que lorsque tu entends que l'on frappe à la porte que tes yeux quittent la contemplation de ton écran d'ordinateur. tes lunettes que tu retires pour te passer les deux mains sur le visage. et le chien qui ne bronche pas. pardon mon grand, on va y aller, promis. que tu souffles à l'animal en quittant ton fauteuil de bureau pour aller ouvrir la porte. me dis pas qu't'as paumé les clé, sinon j'me f- tu ne termines pas ta phrase parce que ce n'est pas eva qui se tient derrière la porte. pause. et puis le sourire qui vient tout de même illuminer ton visage. quand tu penses qu'elle s'est ramenée depuis l'autre bout de la ville sur son vélo, avec cette boite en métal renfermant quelques douceurs, tu te dis vraiment que tu ne la mérite pas. tu ne la mériteras jamais. oh delilah. que tu glisses en penchant légèrement la tête sur le côté. parce que tu ne peux pas t'en empêcher pour autant. de succomber à ses petites attentions. qui ne paient pas de mine, certes, mais qui restent tout de même particulièrement attendrissantes. cœur tendre, âme sensible. surement. han-han, je refuse. qu'elle s'éclipse. qu'elle te glisse entre les doigts. la porte que tu ouvres en grand, la boite que tu récupères pour l'abandonner sur le meuble de l'entrée. pas les cookies, évidement. mais qu'tu partes. sourire en coin, lèvres que tu humidifies alors que tu l'attires à toi. corps frêle entre tes bras. silence. douceur. avant que tes lippes ne capturent les siennes. la tendresse dont tu sais faire preuve. toujours. j'en connais un autre qui s'ra content d'te voir. parce que si django n'a pas bronché quand elle s'est annoncée, ce n'est pas pour rien. tes doigts qui emprisonnent les siens, jolie demoiselle capturée et porte refermée. t'as d'la visite bonhomme. ouais. complètement gaga de ton chien, sans aucun doute. et l'sourire débile qui semble incrusté sur ton faciès alors que vous rejoigniez l'animal déjà bien réveillé dans le salon. fameuse boite de cookies entre les mains.
trigger warning : tw joués : écrire ici. je ne veux pas jouer : écrire ici.
pronom : she/her
âge : vingt-huit ans (4 mars 1993)
statut civil : en couple, elle a eu du mal à y croire sur le moment, des années qu’elle rêvait de poser ses lèvres sur les siennes, de glisser sa main dans la sienne. huit mois qu’elle a l’impression de ne pas toucher le sol. il y a bien une ombre au tableau, une présence impossible à ignorer, mais elle essaie de ne pas y penser.
orientation : hétérosexuelle, elle n’y a jamais vraiment réfléchi, mais ce sont toujours des hommes qui ont ravi son cœur.
gif :
occupation : pâtissière au crabapple cafe.
habitation : #85 cheeky road avec maman carlson, sans savoir si elle reste parce que sa mère a besoin d’elle, ou parce qu’elle ne supporterait pas de vivre seule.
en vrac : Les études n’ont jamais été son fort. › Delilah, c’est la bonne copine, celle qui a toujours le sourire et qui fera tout ce qu’elle peut pour adoucir votre journée. › Delilah n’a jamais eu trop de chance en amour. › Le printemps est sa saison favorite. › Quand elle n’est pas aux fourneaux, Delilah passe beaucoup de temps sur son téléphone, à naviguer sur Instagram. › En dehors des pâtisseries, Delilah n’est pas une très bonne cuisinière. › Elle aimerait adopter un chien, mais sa mère refuse. › Elle a toujours fait pas mal de sport, sans jamais exceller nulle part. › Elle utilise beaucoup (trop) d’émojis. › Elle fumait un peu, il y a quelques années, mais elle a arrêté quand elle a commencé à pâtisser, ne voulant pas que ça altère son goût. › Elle a un petit cupcake tatoué sur le côté de son avant-bras. › Elle aime lâcher prise sous les néons, les yeux fermés et le corps qui ondule au rythme de la musique. › Elle aimerait faire de la plongée sous-marine et retrouver son père, ou au moins savoir qui il est. › Delilah n'a pas le permis et se déplace presque exclusivement à vélo.
· Re: together is my favorite place to be (xander) Mer 21 Avr - 12:02
- together is my favorite place to be - @Xander De Luca . . . . . . . . . . . . . . .
Au moment où la porte s’ouvrit, Delilah crut entendre Xander parler de clés. Signe que ce n’était certainement pas elle qu’il s’attendait à voir là, plantée devant sa porte. La pâtissière se refusa à penser à qui il pensait voir débarquer à sa place. A qui il avait possiblement donné un double de ses clés. Elle ne voulait pas le savoir. Au fond, elle le savait déjà. Elle allait simplement se convaincre qu’il s’agissait certainement d’un ami, peut-être même un membre de sa famille qu’elle ne connaîtrait pas. Tout sauf elle. A la place de cette question dont elle ne voulait pas connaître la réponse, Delilah lui rendit son sourire. Il gagna même ses yeux lorsque l’étonnement initial laissa place à un ravissement sincère. Du moins c’était ce qu’elle avait l’impression de lire dans son regard adouci, dans son sourire attendri. Et elle s’accrochait à ça, Delilah, à ces petits signes, ces petits riens qui soulageaient ses inquiétudes. Même si elle refusait de l’entendre, ça ne durait pourtant jamais assez longtemps, elle finissait toujours par réapparaitre, d’une manière ou d’une autre. Et à chaque fois, c’était comme un coup de massue qui la prenait par surprise. A chaque foutue fois. Remis de sa surprise, Xander se décida enfin à bouger et à la faire entrer chez lui, ouvrant grand la porte et récupérant la boîte où l’on entendait les biscuits se cogner aux bords - ils seraient certainement moins beaux que dans la vitrine du Crabapple Cafe, mais ce trajet chaotique jusqu’à l’appartement ne changerait rien à leur goût, Dieu merci. Delilah laissa échapper un rire amusé alors que Xander l’attirait à lui après avoir qu’il ne refusait aucunement les cookies. Évidemment, personne ne refusait jamais ses cookies. Ils étaient son arme secrète pour faire oublier la moindre de ses maladresses. Drapeau blanc offert après chaque dispute. Il n’était pas question de réconciliation aujourd’hui, simplement de profiter de sa présence. “Tu fais bien de préciser, j’étais à deux doigts de les donner à--” Delilah laissa mourir les derniers mots de sa phrase sur ses lèvres lorsqu’elle prit conscience de la proximité entre eux. Moment suspendu avant que sa bouche ne recouvre la sienne en douceur, et la pâtissière se sentit fondre dans ses bras. S’il n’avait tenu qu’à elle, elle aurait prolongé cet instant à l’infini. Être entre ses bras était définitivement le meilleur endroit sur Terre à ses yeux. “Tu as peut-être mérité tes cookies finalement,” souffla-t-elle en souriant malicieusement, avant de se détourner vers le salon, où le deuxième occupant de l’appartement les attendait impatiemment. “Et voilà le plus beau !” s’exclama Delilah en s’agenouillant auprès de Django avant de glisser ses mains dans ses poils, le laissant frotter sa tête contre son épaule. “J’espère que t’es pas jaloux, mais tout le monde sait que Django est clairement mon préféré.” Cette fois elle s’était adressée directement à Xander, lueur malicieuse dans le regard et sourire au coin des lèvres. En relevant la tête, elle remarqua l’ordinateur encore allumé et fronça les sourcils en comprenant qu’elle avait certainement interrompu Xander. “Je ne veux pas te déranger,” commença-t-elle en plantant son regard dans le sien. “Je peux revenir à un autre moment si tu préfères. Ou sortir Django en attendant que tu termines.” Ils savaient tous les deux que ça ne lui poserait absolument aucun problème. Elle adorait s’occuper de Django, ça compensait les innombrables refus de sa mère pour qu’elle adopte son propre chien. Et comme elle ne cessait de lui répéter : tant qu’elle vivait sous son toit, elle se pliait à ses règles. Ce qui voulait dire, pas de chien. “Ou te servir de prétexte pour faire une pause.” Phrase ponctuée par un clin d'œil complice. Delilah savait que Xander ne voyait pas toujours le temps passer lorsqu’il était plongé dans un projet. Pasionné par ce qu’il faisait. Au point d’en oublier de manger parfois. Alors en parfaite petite amie qu’elle était, Delilah lui rappelait parfois qu’il était temps de faire une pause, de sortir prendre l’air, décrocher un peu de ses écrans. “Tu travailles sur quoi ?” Elle n’y connaissait pas grand chose en jargon technique, mais elle posait quand même la question, parce qu’elle voulait s’intéresser à ce qui passionnait tant l’homme qu’elle aimait.
made by rivendell.
Xander De Luca
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pseudo : b_bulle (mel).
pronom irl : elle.
id card : d. o'brien @all souls.
personnage : permanent
multicomptes : aksel (r. pankow)
nbre de mots : tout dépendant des partenaires ; généralement entre 500 et 1000 mots ; suivant l'inspiration.
âge : vingt-neuf ans (04.04) ; tu traînes te converses sur le bitume. le nombre rond qui s’approche et que tu repousses par tous les moyens, comme si passer à une nouvelle décennie allait te faire grandir alors que tu n’en as pas la moindre envie.
statut civil : en couple ; tu l’aimes, tu crois. tu t’accroches à ce qu’elle est capable de te faire ressentir. tu l’aimes, du mieux que tu peux, pour oublier qu’y en aura toujours une autre dans un coin de ta caboche.
orientation : hétérosexuel ; t’as jamais éprouvé une quelconque attirance pour les hommes. y a que les femmes qui t’attirent. leurs grands yeux et leurs sourires. et quand elles rient, y a ton cœur qui chavire.
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occupation : animateur 3D ; tu passes ta vie derrière deux ou trois écrans d’ordinateurs. tu donnes vie aux personnages, aux décors et objets des jeux vidéo.
habitation : #432 ; 1a ; outside ; appartement que tu partages avec ta meilleure amie et ton chien. assez d'espace pour vous trois sans que vous ayez besoin de vous marcher dessus. c'est pas le grand luxe pour autant. juste ce qu'il faut. que tu persistes à dire.
· Re: together is my favorite place to be (xander) Sam 24 Avr - 1:29
- together is my favorite place to be - @Delilah Carlson . . . . . . . . . . . . . . .
on ne va pas se mentir, tu ne pensais pas à delilah quand t'as entendu frapper à la porte. t'as tout de suite pensé à eva. ça semblait logique. ou alors c'est parce que tu voulais que ça le soit. tu ne sais plus très bien quoi penser. ni même comment fonctionner. depuis que la déesse vengeresse squatte ta chambre pour éviter de dormir dans la rue. c'est con, mais y a des fois où tu te dis que c'était mieux quand elle n'était pas là. parce qu'au moins, t'avais delilah dans la peau. enfin, elle était plus souvent dans tes pensées. et tu te détestes de penser ainsi. tout comme tu détestes de mentir à la pâtissière. tout comme tu détestes te mentir à toi-même, dans l'fond. tu mens sans en avoir pleinement conscience. toi qui te dit que tu peux bien aimer deux personnes à la fois. ce qui est complètement faux d'ailleurs. par ce que t'en aimeras toujours l'une plus que l'autre. t'es content de la voir pourtant. ton sourire en atteste d'ailleurs. passé la surprise, un peu de douceur ne fait pas de mal. toi qui dépose tes lèvres sur les siennes. baiser que tu apprécies, bien qu'il sonne faux dans la mélodie d'une cage thoracique qui pèse trop lourd sur ton myocarde calciné. peut-être que si tu essaies un peu plus, que tu cherches à te convaincre mieux, tu finiras par laisser la meilleure amie s'envoler. mensonges. j'espère bien ouais. que tu souffles quand elle te dit que t'as mérité les cookies. si seulement elle savait. si seulement elle voyait. que tu ne vaux pas un clou. jolie poupée aveuglée par des sentiments ancrés depuis bien trop longtemps. la chute sera brutale, sans aucun doute. pour l'heure, tes doigts entremêlés aux siens, tu l'entraînes vers le salon pour y retrouver l'animal tout guilleret. t'arques un sourcil et, de ta main libérée de la sienne, tu la passe dans ta tignasse. grimace facile et évidente. touché. outch. ça, ça fait mal. pourtant, tu le sais bien que django vole tous les cœurs qui passent. boule de poils bien trop attachante, attendrissante. réduit à n'être bon qu'à assouvir tes désirs. mon cœur saigne. acteur de pacotille. t'en fais trop et p'tre bien que tu pourrais en devenir touchant. bien que tu n'en penses pas le moindre mot. tu ne feras jamais le poids face à django. personne ne le peut d'ailleurs. de ça, tu en es persuadé. oh non, t'en fais pas, tu tombes au bon moment. pour sûr. tu travailles trop et c'est pas nouveau. t'as déjà pas vu le temps passer jusque là, tu devais t'arrêter, de toute façon. hors de question que tu t'en ailles. que tu pries tout haut. pour qu'elle occupe tes pensées. qu'elle reprenne sa place. qu'elle s'y impose comme une évidence. c'est beau de rêver. et hors de question que tu sortes django sans moi. j'aurais peur que tu t'barres avec et que j'le revois jamais. que je ne vous revois jamais. la correction qui semblait nécessaire. l'animal dont tu ne saurais clairement pas te passer. la femme qui te donne tant pour la laisser filer. utilisation abusive d'une gentillesse sans limite. t'es vraiment un connard xander. si seulement tu t'en rendais compte. avant qu'il ne soit trop tard. te rendre compte que t'es rien d'autre qu'un putain d'égoïste. parce que dans l'fond, si t'as pu te relever quand eva s'est tirée, c'est parce que delilah était là. surement que sans elle, t'aurais attendu le retour de la rageuse, au même endroit où elle t'avait laissé, sur ton canapé. t'as l'sourire niais qui nait sur tes lippes quand elle propose de te servir de distraction. et le clin d'œil qui s'en suit. lueur immédiate scintillant dans tes prunelles. oh. le plus joli des prétextes. ça m'plaît bien ça. si t'avais pas oublié que t'avais encore la boite de cookies dans les mains, t'aurais surement enlacé la gamine. t'aurais surement voulu jouer. t'aurais surement voulu tenter de l'aimer. vraiment. mais voilà, y a toujours cette foutue boite en métal entre tes paumes. faudrait p'tre que tu songes à la poser. c'est d'ailleurs ce que tu fais. objet abandonné sur la table passe. juste le temps pour elle de s'intéresser à ton travail. y a des bugs dans certains designs. genre sur certains personnages, y a les bras qui ne sont pas rattachés au corps. y a comme un p'tit décalage, c'est chiant. tu fronces les sourcils. tu ne sais pas où ça a merdé d'ailleurs mais y a un truc qu'est pas passé dans le logiciel. oh puis y a les mouvements de mâchoires qui ne sont pas synchronisées non plus avec les paroles qu'on aura en arrière plan. encore un truc qui te perturbe. t'es plus minutieux que ça d'habitude. mais c'est pas important. 'fin si mais ça peut attendre demain. tu ne veux pas l'ennuyer non plus avec toutes tes histoires à dormir debout. parce que t'es resté soft juste que là en terme d'explication mais si tu vas plus loin, y a moyen que tu la perdes. tu disais vouloir me servir de prétexte pour faire une pause. ça, c'est beaucoup plus intéressant. ouais, clairement. main qui saisit son poignet. délicatement. corps que tu attires vers toi. sans la brusquer non plus. t'es pas un violent gamin, t'es rien qu'une putain d'dose de douceur sur pattes. ça étonne à des fois. et, une fois de plus, tu viens capturer ses lèvres. toi qu'a besoin d'être rappelé à l'ordre. toi qu'a besoin d'être ramené sur le bon chemin.
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statut civil : en couple, elle a eu du mal à y croire sur le moment, des années qu’elle rêvait de poser ses lèvres sur les siennes, de glisser sa main dans la sienne. huit mois qu’elle a l’impression de ne pas toucher le sol. il y a bien une ombre au tableau, une présence impossible à ignorer, mais elle essaie de ne pas y penser.
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en vrac : Les études n’ont jamais été son fort. › Delilah, c’est la bonne copine, celle qui a toujours le sourire et qui fera tout ce qu’elle peut pour adoucir votre journée. › Delilah n’a jamais eu trop de chance en amour. › Le printemps est sa saison favorite. › Quand elle n’est pas aux fourneaux, Delilah passe beaucoup de temps sur son téléphone, à naviguer sur Instagram. › En dehors des pâtisseries, Delilah n’est pas une très bonne cuisinière. › Elle aimerait adopter un chien, mais sa mère refuse. › Elle a toujours fait pas mal de sport, sans jamais exceller nulle part. › Elle utilise beaucoup (trop) d’émojis. › Elle fumait un peu, il y a quelques années, mais elle a arrêté quand elle a commencé à pâtisser, ne voulant pas que ça altère son goût. › Elle a un petit cupcake tatoué sur le côté de son avant-bras. › Elle aime lâcher prise sous les néons, les yeux fermés et le corps qui ondule au rythme de la musique. › Elle aimerait faire de la plongée sous-marine et retrouver son père, ou au moins savoir qui il est. › Delilah n'a pas le permis et se déplace presque exclusivement à vélo.
· Re: together is my favorite place to be (xander) Sam 1 Mai - 21:02
- together is my favorite place to be - @Xander De Luca . . . . . . . . . . . . . . .
Delilah leva les yeux au ciel, un sourire moqueur aux lèvres, lorsque Xander fit semblant d’être blessé par sa préférence. Ce n’était pas de sa faute à elle, si Django était irrésistible. Même si elle ne trompait personne, Delilah, tout le monde savait que c’était bel et bien Xander, son préféré, qu’elle sacrifierait beaucoup de chose pour lui. Beaucoup trop, peut-être. La pâtissière refusait de croire que tout ça n’était qu’une illusion. Elle s’accrochait à l’espoir que ce qu’il y avait entre eux deux était réel. Certes, Xander avait été abominablement affecté par son départ, mais de l’eau avait coulé sous les ponts depuis. N’est-ce pas ? Certes, depuis qu’elle était de retour, il lui semblait parfois plus distant, comme si ses pensées flottaient ailleurs, mais c’était certainement parce qu’il avait beaucoup de travail. N'est-ce pas ? Ces phrases d'auto-persuasion, Delilah se les répétait en boucle dès qu’elle sentait le doute grandir en elle - ce qui, il fallait bien l’avouer, arrivait de plus en plus souvent ces derniers temps. Mais à chaque fois qu’elle se retrouvait dans ses bras, elle avait la sensation que ses doutes disparaissaient en un claquement de doigts. Son cœur lui paraissait plus léger, comme soulagé d’un poids, et son sourire naissait plus naturellement sur ses lèvres. C’était exactement pour ça qu’elle refusait de croire que ce n’était qu’une illusion. Elle s’accrochait à des moments comme celui-ci pour se rassurer, ses répéter que toutes ces insécurités ne vivaient que dans sa tête, et elle croisait les doigts pour ne pas se tromper.
Le sourire doux qui avait étiré les lèvres de Delilah au moment où Xander lui disait qu’il était hors de question qu’elle s’en aille se transforma en un rire joyeux avec la phrase qui suivit. Elle ne tiqua même pas sur la correction qui l’incluait dans les personnes qu’il craignait de ne plus revoir. Elle connaissait son attachement pour Django, et il ne lui viendrait pas à l’idée de se comparer à lui ou de s’interposer entre eux. Pas entre deux, du moins. La situation était différente lorsqu’il s’agissait de quelqu’un d’autre. Mais il n’était pas question que son ombre plane sur eux à cet instant. Il n’était pas question qu’elle ruine le moment, leur moment. Elle n’était pas là, il ne servait à rien de se torturer en pensant à elle alors qu’elle pouvait simplement se concentrer sur son petit ami et son fidèle compagnon. Delilah ferma brièvement les yeux pour tenter de chasser ces pensées qui ne manquaient jamais de faire ressortir toutes ses insécurités. Et Dieu savait qu’elles étaient nombreuses. “Comme si on pouvait se passer de toi.” La phrase était prononcée sur un ton léger, le sourire aux lèvres, sans avoir vraiment conscience de ce que cela signifiait vraiment. Parce que c’était vrai, il y avait des chances que ni Django ni elle ne puisse se passer de lui. Quoi que, des deux, c’était peut-être même la pâtissière la plus dépendante. Et ce n’était pas vraiment quelque chose dont elle était fière, mais elle préférait ne pas trop y penser, ne pas trop questionner ce que cela révélait d’elle, de leur relation.
La lueur qui traversa les yeux de Xander au moment où elle lui proposa de lui servir de prétexte pour faire une pause déclencha une vague de chaleur qui partait du creux de son ventre pour s’étendre jusqu’à ses joues qui se colorèrent d’une délicate teinte rosée. Elle ne leur laissa toutefois pas le temps d’aller plus loin que ces vagues sous-entendus, s’enquérant du projet sur lequel il travaillait avant qu’elle n’arrive. Il lui expliqua rapidement, sans entrer dans les détails, avec des mots qu’elle comprenait, parce que la programmation ce n’était pas vraiment son truc, et qu’il le savait bien. Ça ne dura pas longtemps, parce que déjà il se rappela de ce qu’elle lui avait proposé, quelques minutes auparavant. Un prétexte pour faire une pause. Delilah ne put empêcher le gloussement spontané qui franchit ses lèvres lorsque Xander l’attira à lui. Rire étouffé par ses lèvres qui vinrent se poser une nouvelle fois sur les siennes. Et la patissière se sentit fondre entre ses bras, incapable de résister à sa douceur. Elle répondit bien vite à son baiser, laissant les sensations l’envahir, au point de ne plus vraiment savoir où son corps s’arrêtait et où celui de Xander commençait. Elle glissa presque timidement ses mains sous son tee-shirt, avide de sentir son épiderme sous ses doigts, alors qu’elle s’étonnait encore d’avoir accès à ce degré d’intimité après en avoir rêvé pendant des mois, peut-être même des années. Avant de se perdre totalement dans ce délicieux ballet de lèvres, de dents et de langues, Delilah se rappela soudainement du deuxième occupant de l’appartement. Le souffle court, elle s'écarta suffisamment pour pouvoir plonger son regard dans le sien, tout en restant blottie contre son torse. “Est-ce que Django doit être promené dans la prochaine heure ?” murmura-t-elle à voix basse, aussi peu désireuse de mettre fin à ce baiser que de priver le chien de sa nécessaire sortie de fin de journée.
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Xander De Luca
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pseudo : b_bulle (mel).
pronom irl : elle.
id card : d. o'brien @all souls.
personnage : permanent
multicomptes : aksel (r. pankow)
nbre de mots : tout dépendant des partenaires ; généralement entre 500 et 1000 mots ; suivant l'inspiration.
âge : vingt-neuf ans (04.04) ; tu traînes te converses sur le bitume. le nombre rond qui s’approche et que tu repousses par tous les moyens, comme si passer à une nouvelle décennie allait te faire grandir alors que tu n’en as pas la moindre envie.
statut civil : en couple ; tu l’aimes, tu crois. tu t’accroches à ce qu’elle est capable de te faire ressentir. tu l’aimes, du mieux que tu peux, pour oublier qu’y en aura toujours une autre dans un coin de ta caboche.
orientation : hétérosexuel ; t’as jamais éprouvé une quelconque attirance pour les hommes. y a que les femmes qui t’attirent. leurs grands yeux et leurs sourires. et quand elles rient, y a ton cœur qui chavire.
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occupation : animateur 3D ; tu passes ta vie derrière deux ou trois écrans d’ordinateurs. tu donnes vie aux personnages, aux décors et objets des jeux vidéo.
habitation : #432 ; 1a ; outside ; appartement que tu partages avec ta meilleure amie et ton chien. assez d'espace pour vous trois sans que vous ayez besoin de vous marcher dessus. c'est pas le grand luxe pour autant. juste ce qu'il faut. que tu persistes à dire.
· Re: together is my favorite place to be (xander) Dim 2 Mai - 20:31
- together is my favorite place to be - @Delilah Carlson . . . . . . . . . . . . . . .
ton esprit a beau souvent dériver vers eva, il n'en reste pas moins que delilah arrive toujours à te ramener vers elle. t'ignores comment elle fait. alors que la réponse est plus qu'évidente. elle t'aime. vraiment. elle t'aime comme toi t'es pas capable de l'aimer. elle t'aime peut-être même depuis bien plus longtemps que tu ne peux l'imaginer. parce que tu sais bien qu'elle a toujours eu un faible pour toi mais tu serais surpris de savoir tout ce qu'elle peut ressentir, tout au fond d'elle. et dans l'fond, t'as pas vraiment envie de le savoir. la culpabilité de potentiellement la blesser à un moment donné est déjà bien trop grande alors si en plus tu savais. tu peux affirmer, avec certitude, qu'elle aura mal. d'avance. parce que tu ne l'aimes pas de la bonne façon. c'est pas aussi fort, c'est pas aussi intense que ce qu'elle mérite. tu t'en veux xander, de la piéger dans tes bras pour lui faire plaisir. et seulement pour ça. bien que tu ne t'en rendes pas spécialement compte. toi qui reste persuadé que tu t'en sors bien. mais c'est faux. complètement faux. tu te berces d'illusions pour éviter de voir la vérité en face. celle qui te crache à la figure que la seule femme que tu aimeras à jamais, c'est pas la jolie pâtissière. celle qui se fout de ta gueule quand t'essaies d'être tendre et mielleux avec la poupée hâlée quand y en a une autre qui tire les ficelles du moindre de tes songes. la divine tentatrice n'est pas là pour maîtriser tes faits et gestes à l'instant présent. sans doute pour cette raison que tu arrives mieux à te concentrer sur la gamine. celle à qui tu devrais donner le plus d'attention possible finalement mais que tu passes en second plan quand eva t'appelle au secours. ça a toujours été comme ça, quand t'y repenses. tes relations précédentes qu'ont volés en éclats parce que tu restais trop disponible pour la fracassée. l'utopie que tu as créé autour de delilah et toi, quand la meilleure amie a quitté le décors. tu t'en mordras les doigts. plus tard. quand tu comprendras que t'as encore tout foutu en l'air. pour une nana qui ne t'accordera sans doute jamais plus que sa profonde et sincère amitié. si tu savais xander, si tu savais. la demoiselle attirée dans tes bras, la tendresse dont tu sais faire preuve malgré tout. parce que tu ne peux pas nier qu'elle te fait du bien, qu'elle t'empêche de couler. bien plus souvent que tu ne voudras l'admettre aussi, sans doute. le manque de la douceur de ses lèvres sur les tiennes. le manque de son parfum chatouillant tes narines. le manque de ses doigts sur ta peau. frisson agréable provoqué par la fraîcheur de sa chair, glissée sous ton tee-shirt. échange électrique. pressé. pressant. le myocarde qui s'accélère sans que tu ne puisses lui demander de se calmer. et la distance, de nouveau, nécessaire. reprendre ton souffle, un peu. la question posée, bouche entrouverte. ton regard dévie vers l'animal, comme si t'attendais son approbation. django soupire et repose sa tête sur ses pattes. il attendra. que tu souffles en reportant ton attention sur elle. lèvre inférieure que tu te mords en un sourire presque machiavélique. pas besoin de mettre de mots sur ce qu'il va se passer. t'en crèves d'envie, on ne va pas se mentir. assouvir ce désir ardent qu'est l'acte charnel. ses bras que tu ramène autour de ton cou. demoiselle que tu soulèves de terre aisément, portée comme dans les films romantiques. corps en mouvement jusqu'à la sécurité de ta chambre. qui n'est plus vraiment la tienne en fait, depuis qu'eva vit avec toi, c'est elle qui l'a récupéré. mais bon, elle ne va pas faire chier non plus, c'est ton lit à la base. au pire, tu changeras les draps et terminé. pas de quoi en faire un drame non plus. si tu savais xander, si tu savais. jolie poupée déposée sur le lit, toi qui ne tarde pas à te placer au-dessus d'elle pour attraper une fois de plus ses lèvres. baiser brûlant avant de te redresser pour te débarrasser du tissus qui couvrait ton torse. te débarrasser du sien également. retour à sa bouche, encore et encore. chaleur qui se diffuse dans tout ton être. la sentir tout contre toi. peau contre peau. oublier que les affaires d'eva ont envahi ta piaule. ne te focaliser que sur celle qu'est censée partager ta vie.
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· Re: together is my favorite place to be (xander)