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Finlay Bowenft. Hero Fiennes-Tiffin

âge, lieu de naissance Le jeune Bowen est né à Cardiff, au Pays de Galles, d'une mère écossaise et d'un père gallois. Il poussa ses premiers hurlements le 14 juin 1999, signifiant officiellement son arrivée sur Terre. Ses parents étaient les plus comblés, heureux que Dieu leur ait enfin donné l'honneur d'être les gardiens d'un être si précieux.

nationalité anglaise, bien qu'il préfère se considérer comme gallois.

occupation Il entame un cours en mécanique automobile. Après avoir été mis dehors de chez ses parents puis envoyé vivre chez sa tante au Canada, il lui fallait se trouver une occupation qui lui rapporterait un peu de thunes.

statut civil Célibataire. Il aurait tant aimé pouvoir se dire en couple, mais il est désormais à des milliers de kilomètres de la jolie jeune fille qui faisait jadis battre son coeur. Il ignore s'il aura à nouveau la chance de goûter ses douces lèvres et admirer chaque détail de son magnifique visage de porcelaine.

orientation sexuelle Sa religion lui a toujours enseigné que l'homosexualité est mal et inacceptable. Or, il ignore quelle est son orientation. Les filles l'attirent, mais il a toujours assumé que les relations homosexuelles était proscrites. Il apprendra à ses découvrir et à définir son orientation sexuelle.

situation familiale Il a un petite soeur, Rhiannon, qui est 3 ans sa cadette. Elle demeure toujours à Cardiff avec ses parents, et demeure en contact avec son grand-frère malgré la distance qui les sépare. Ses parents, Elis et Leana, sont mariés depuis leurs quinze ans.

à brackendale depuis À peine trois mois. Il est arrivé pendant l'hiver frisquet continental auquel il s'est rapidement habitué. Certes, ce n'était point son intention de quitter son Pays de Galles natal pour résider au Canada, mais la vie en avait décidé autrement...

Finlay est doux et docile. Du moins, c'est ce qu'il projette. Ce qui se passe sous son épaisse carapace en est toute autre; il vit dans un monde volcanique en constante éruption, projetant à toute allure des émotions qu'il tente d'apprivoiser. On lui a toujours enseigné à écouter ses parents et les enseignements sacrés des disciples. Sa foi devait guider sa vie. Il avait donc appris à écouter et se taire. À ne jamais remettre en question les enseignements qu'on lui donnait. Il était difficile de se former sa propre opinion alors qu'il avait été élevé dans un monde quasi-totalitaire et peu égalitariste. Or, malgré toutes ces croyances qu'on lui faisait gober, il ne pouvait s'empêcher de questionner ces sages paroles. Lentement mais sûrement, la docilité avait laissé place à la rebellion. Il se montrait peut-être sous son plus beau jour devant ses parents pourtant si fiers de leur progéniture, mais loin de leur regard, il s'émancipait. Il apprenait à se découvrir, à comprendre la personne qu'il était vraiment. Il était rieur et aventurier. Son coeur était grand et ouvert aux différences. Il était timide aux premiers abords, mais chaleureux lorsqu'il prenait son aise. Finlay explore tranquillement l'homme qui se cache derrière une vie de subordination. Et plus le temps avance, plus il aime ce qu'il découvre.

AUTOMN LEAVES

pseudo, prénom Ström / Anthurium / Milky Way / Gousse d'Ail / Andywolf / Andouille, Andy.(Ouin, je me cherche un nouveau pseudo)

âge, pays 27 ans, Montréal, Canada

type de personnage () prédéfini () scénario () pré-lien (X) inventé ; si scénario/pré-lien, merci de taguer l'auteur.

personnage (X) permanent () éphémère.

comment as-tu connu le forum ? Grâce à Jenny.

crédits dae tacita

autres Si vous avez des idées de pseudo, je suis preneuse! Sinon, soyez prêts pour mon pré-lien love (non, ça ne sera pas Joséphine Langford)

If we confess our sins, he is faithful and just to forgive us our sins and to cleanse us from all unrighteousness. (John 1:9)

Son visage était doux, et ses traits me rappelaient ceux d'un ange. Vous savez, ces illustrations divines que l'on nous montrait dans nos bouquins d'études religieuses ou que l'on pouvait observer sur les peintures des artistes les plus reconnus. Sa beauté était sans pareille, et ses lèvres sucrées ne me laissaient jamais indifférent. Seul avec elle, j'avais envie de la découvrir davantage. Nous parlions pendant des heures et des heures, et je n'étais jamais rassasié de toutes ces paroles que nous déversions comme si l'espace temporel n'existait plus; le monde autour de nous s'était effacé, et nous étions désormais le centre du monde. Je ne m'étais jamais senti ainsi. Jamais. Plus de temps nous passions ensemble, plus les papillons dans mon ventre s'agitaient. Nous nous rapprochions dangereusement, mais nous nous gardions une certaine distance, craignant tous les deux de céder à cette tentation malsaine dont on nous avait toujours dit de nous méfier. Mes parents m'avaient toujours dit de prendre épouse avant de coucher, et j'y tenais mordicus. Ma bien-aimée avait reçu les mêmes valeurs et croyances que moi, car nos deux familles étaient membres de la même paroisse. Ils s'y rencontraient tous les dimanches et nous forçaient même à participer à des études bibliques les vendredis soirs. C'est à travers ces lectures que j'ai appris à connaître cet être unique et, avec le temps, à en tomber amoureux. Notre amitié s'est rapidement solidifiée puis transformée en des sentiments qui allaient bien au-delà d'une simple camaraderie. Nous avions échangé un premier baiser, puis un deuxième et notre couple s'est ainsi formé. J'avais songé lui demander sa main, me disant que je serais l'homme le plus heureux au monde si j'avais l'honneur de passer ma vie avec elle. Mais ni elle, ni moi n'étions prêts pour cette étape colossale qu'est le mariage. Or, nous voulions tous les deux nous découvrir. Nous voulions explorer nos corps et goûter chaque parcelle de notre peau, et ce, en dépit de tous les enseignements que l'on nous faisait depuis notre jeunesse. Nous nous étions donc aventurés plus loin que permis, et, un soir d'automne, nous avions tous les deux perdu notre virginité. Ç'avait été l'une des nuits les plus magiques de ma vie. Enfin, la plus magique, même. Nous avions connecté d'une façon indescriptible, et notre lien était devenu plus solide que jamais. Rien ne pouvait plus nous séparer, pas même la Foi que nous partagions pour Lui. N'était-Il donc pas censé pardonner tous les pêchés?

Or, nous ne pensions pas que nous aurions été ainsi exposés. Les draps blancs, sur lesquels nous avions consumé notre Amour malgré l'interdiction suprême, étaient légèrement tachés de sang. Nous ne nous en étions pas rendus compte; ce fut plutôt la mère de ma concubine qui, lorsque vint le temps de nettoyer le lit de sa précieuse princesse, découvrit avec horreur le sang séché imbibé sur le drap. Je me souviens d'avoir senti la paume de la main de ma mère s'écraser contre ma joue; mon père me cracher au visage toute la honte qu'il ressentait à mon égard. J'étais devenu la honte de la famille, et j'avais gâché la virginité de cette pauvre et innocente jeune fille qui ne pourrait plus trouver de mari. Je les avais trahis et, pis encore, je L'avais trahi. L'enfer m'ouvrirait ses portes comme s'il m'attendait depuis la nuit des temps. Et certes, celle de mes parents me serait fermée. Je n'étais plus le bienvenu; j'étais renié de la paroisse et de la communauté dans laquelle j'avais grandi.

C'est ma tante, Astrid, qui m'a accueilli. Logé dans les montagneux paysages de l'Ouest canadien depuis plus de dix ans déjà, cette femme m'a ouvert les bras comme si je n'ai rien commis de mal. Comme si, au fond, aucun pêché n'a été commis. Comme si aucune barrière absolue n'a été brisée, et je suis encore digne d'être aimé. Astrid a quitté notre communauté il y a plus de vingt ans. Ç'a été difficile pour elle de tout laisser derrière elle, mais ce qu'elle désigne comme une secte ne faisait qu'empoisonner son existence. Mes parents ont toujours parlé d'elle comme une traite conquise par le Mal, et me voilà destiné à vivre avec cette femme qui, malgré son grand coeur, est pour moi une reniée. Une esclave de Satan. Or, logé chez elle et loin de ma communauté, je réalise enfin ô combien toxique était ma vie. Pendant mes vingt-et-une années de vie, on m'avait fait gober des paroles et croyances que j'avalais sans remise en question. Au fil du temps, j'apprends à découvrir mes propres croyances et, qui plus est, j'apprends à me découvrir moi et l'homme que je souhaite devenir. Certes, je suis conscient que j'ai encore un long et sinueux chemin à parcourir devant moi, mais je peux enfin le traverser les yeux grands ouverts avec une conscience qui m'appartient enfin.

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Moi ?

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Mike Alloway a écrit:: Moi ?

Bien sûr! On part ce sur quoi on a discuté ? finlay › get in loser, we're going to church 1581864497

(De bons amis, et Mike lui cache son homosexualité?)

Exactement ! Quel contexte veux-tu faire pour le RP ?

On pourrait mettre en contexte comment ils se rencontrent? Pour l'instant, Finlay n'a pas d'amis. Il commence à sortir de chez lui pour explorer la ville (lol, première sortie.... l'église!).

Il commence un cours en mécanique automobile, donc il pourrait peut-être se rencontrer dans ce contexte... J'essaie de réfléchir à comment ils auraient pu se rencontrer considérant que mon personnage est ultra timide. Au pire, on en discute via whats app, ça sera plus simple finlay › get in loser, we're going to church 3029831256

finlay › get in loser, we're going to church 3029831256

@Finlay Bowen Un étudiant en mécanique, il travail dans un garage ou fais des stages ? Si oui possible qu'il est déjà croiser Isis du coup qui travail dans un garage elle aussi.
On peu discuté si tu veux ?

» take me to church (ft. cassia)
» Remember when we met [Finlay]
» finlay › what's done in the dark shall come to the light
» i knew you were trouble • ft. cassia&finlay

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II/ here'll be happiness after you

you haunted me down

no body no crime