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 wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia)


Rosie Byers
we've got something new
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Rosie Byers
lost and insecure
messages : 207
pseudo : spf
pronom irl : she / elle / her (par contre j'écris en "tu")
id card : phoebe dynevor (imaginelion) / gif (baby-vintage)
personnage : permanent
wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) 88524c1f609dd1eb0d7310bd6baa32c2f674e3b2
nbre de mots : ça dépend vraiment. un minimum de 500 mots en général.
code couleur : chocolate
disponibilités : (1/3) ; gray ; charlie
trigger warning : (tw) mutilations, rapports sexuels débridés et explicites, quête d'identité sexuelle, deuil, dépression, alcool, drogue.
pronom : she / elle / her
âge : l'année de tes vingt-trois ans sur le point de s'éteindre.
statut civil : ce besoin de sentir cette liberté dans chacun de tes pores. Célibataire à la pensée prise. La fermeté de ses bras et la douceur de ses caresses. Des relations qui ne durent jamais longtemps, parce tu préfères t'échapper plutôt que tenter.
orientation : des hommes avec qui tu as découvert ta sexualité, peut-être des femmes, jusqu'au moment où tu te surprends à laisser traîner des phalanges sous la broderie de ton sous-vêtement. Prise au piège dans un doux trio.
gif : wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) 200
occupation : t'as abandonné les études d'art, t'as lâché la bourse universitaire qui t'avait été accordée. Serveuse dans un bar karaoké depuis quelques mois.
habitation : un appartement sur dryden street que tu partages avec ta meilleure amie depuis quelques mois.
présentation : présentation
fiche de liens : fiche de liens
same old story

· wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) Mer 31 Mar - 12:52


- It’d be to my brother, ‘cause we have the same nose -
@maia adkins
. . . . . . . . . . . . . . .

La promesse de passer plus de temps en sa compagnie, de l’épauler qu’importe les aléas de la vie. Ce besoin de retrouver la complicité passée de deux enfants qui se confiaient chacun de leurs secrets. C’est finalement d’une surprise que tu te pointes devant l’appartement, un paquet cartonné rempli de petites merveilles venant de la boulangerie en bas de la rue. Il paraît qu’elle vaut le détour.
Cette colocation qu’il partage en compagnie de ces garçons, de cette famille qu’il a choisi, la même qui t’as vu grandir au fur et à mesure de ces années. Des relations quasi fraternelles que tu partages avec chacun des membres, quelques crushs d’adolescente dont tu n’arrives, encore aujourd’hui à te défaire lorsque tes yeux se posent sur Gray. Les lèvres glossées qui se pincent, ça colle, le geste est mécanique mais la sensation est étrange. C’est Neve qui t’a convaincu d’en porter, donner plus de reflets à ta bouche légèrement charnue et qui sait, réussir à attirer l’attention de ton partenaire quand il te ramène à la maison, une fois ton service terminé. Secrètement, t’as l’intime conviction qu’elle cherche simplement à t’évincer des instants partagés en compagnie de Lorenzo, ça te plaît moyen.

La main qui vient frapper à la porte de l’appartement, t’espères au moins que Charlie appréciera le geste.
Dans un petit grincement, la lumière qui se dégage sur le couloir, une silhouette apparaît. Sourire apparent qui illumine ton visage, le temps que tes pupilles s’acclimatent à ce halo, tu déchantes. Vite. “Bah alors tu me fais poireauter !” L’annonce est pleine de bonnes intentions, avant que tu ne constates les courbes féminines qui se dessinent. “Je me suis trompée d’appartement ?” Que tu annonces sans grande conviction lorsque son visage se présente devant toi. Les sourcils froncés, un simple mouvement de recul pour observer les différents noms floqués dans le cadre épais. “Je… Je croyais pourtant que… Je…” Les mots qui se perdent, des paupières qui clignent à vive allure comme pour t’assurer que tu n’as pas manqué la porte.

Quelques secondes qui te paraissent des heures avant d’enfin porter ton attention sur elle. Et cette impression, en la détaillant que tu la connais, que tu l’as déjà rencontrée, ses traits qui ne te semblent pas inconnus. “Pardon je… Bonjour.” Un sourire gêné qui s’empare de ta face, en cet instant tu parais tellement idiote, dans l’une de tes mains un carton rempli de gourmandises, et l’autre, une paume levée vers le ciel qui vient dégager ta vision de ces quelques mèches rebelles. “Charlie est là ?” Dernier coup d’oeil en direction de la plaque, confirmant que tu sembles bien être devant son logement. Ton coeur qui s’emballe, d’une raison que tu ignores tandis qu’une petite voix vient se faire entendre dans le coin de ton cerveau que cette fille, elle ne t’est pas étrangère.  


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Maia Adkins
just something that we wanna try
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Maia Adkins
lost and insecure
messages : 254
pseudo : privet drive
id card : zendaya, skate vibe.
personnage : permanent
wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) Ad7e2f0d32e1cd1f157ce467c08fb23c
nbre de mots : entre 600 et 1100 mots
disponibilités : closed (○○○)
charlie, rosie, ali

âge : (vingt-quatre ans), les responsabilités qu'elle a trop longtemps porté sur ses épaules et qu'elle fuit désormais, en s'offrant ce nouveau souffle de jeunesse et d'innocence.
statut civil : (célibataire), s'amourache toujours des mauvais garçons, férocement persuadée de ne pas mériter mieux.
gif : wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) 047971264a561a7dbe13e5de1ee363ae347249a7
occupation : (étudiante vétérinaire), à défaut de vouloir sauver les Hommes qui n'ont pas été tendres avec elle..
habitation : (dryden street, #219, building) appt 1C, en colocation avec quatre autres garçons.
en vrac : accro à son téléphone - bénévole dans un refuge pour animaux - n’est pas une bonne cuisinière et se contente souvent de céréales en guise de repas - ancienne fumeuse - lit son horoscope chaque matin - les cauchemars sont récurrents depuis qu’elle est gamine et les crises d’angoisse ne sont jamais loin - adore jouer aux jeux vidéos, même si elle est nulle - dit un peu trop de grossièreté - n’aime pas le sport
same old story

· Re: wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia) Mer 14 Avr - 21:15

and when you're looking in the mirror, demons may be closer than they may appear. // @Rosie Byers
Depuis quelques semaines, Maia avait débuté un stage dans la clinique vétérinaire du centre ville et si les journées étaient passionnantes, elles étaient aussi épuisantes. Aussi bien physiquement que moralement. A la fin de ces longues journées, son seul souhait était de vite rentrer et de s'affaler sur son lit en regardant ses séries préférées, mais les révisions pour les prochains examens et le vacarme incessant ne le lui permettaient que très peu ce genre de petit plaisir. Et si elle se surprenait à aimer vivre en colocation, ce mode de vie pouvait parfois aussi avoir ses limites. Alors, quand à la fin de sa journée de travail, Maia avait découvert l'appartement vide, fait rare, elle n'avait pas perdu une seconde pour se jeter sur le canapé et profiter de ces précieux instants de calme. Seulement, le moment de quiétude fût de courte durée car alors qu'elle commençait à s'assoupir, un bruit provenant de l'entrée se fit entendre. Sa main qui vient alors se coller sur son visage en signe d'exaspération et elle finit par se lever en soupirant, bien obligée de répondre. C'est une silhouette féminine, belle et élancée qui se révèle à mesure qu'elle ouvre la porte et ses yeux bruns qui se plissent à cause de la lumière naturelle qui s'échappe de l'appartement et qui l'empêche de distinguer clairement les traits de cette invitée surprise. Et elle finit par bloquer, Maia. En fait, elle ne prend même pas la peine d'écouter ce que l'autre dit. Trop perturbée par ce visage angélique qui ne lui est pas inconnu et cette étrange sensation qui s'empare d'elle. Sans vraiment pouvoir se l'expliquer, y a son cœur qui se serre et ses mains qui deviennent moites. Ce n'est pas dans ses habitudes d'être ainsi déstabilisée et ça la frustre que son cerveau n'arrive pas à resituer la jeune femme. Il y a quelque chose en elle qui semble familier, qui est presque réconfortant, mais qui paradoxalement, créé aussi un nœud au niveau de son estomac. Puis, elle l'entend prononcer le prénom de Charlie et tout à coup, elle revient à la réalité, Maia. « Charlie? » les sourcils froncés, la brune a du mal à cacher sa surprise. En effet, depuis qu'elle avait emménagé ici, mis à part sa petite-amie, Lou, aucune fille n'était venu rendre visite à Charlie à l'appartement. Ce genre de visites était réservé aux autres garçons de la colocation habituellement et Maia s'était fait à l'idée très rapidement, mais elle ne s'était clairement pas préparé à ce que Charlie soit pareil. « Il doit être encore au ciné, mais j'imagine qu'il ne devrait plus tarder. Tu.. n'as qu'à entrer en l'attendant. » elle fait des politesses et ça ne lui ressemble pas, mais les garçons ne lui laissent pas vraiment le choix dans ce genre de situation. Elle joue le jeu, pour eux, même si les efforts sont moindres et que l'agacement se lit sûrement très clairement sur son visage. Le sourire forcé, à peine dissimulé, elle ouvre un peu plus la porte pour lui ouvrir le passage et la referme aussitôt la blonde rentrée. « Fais comme chez toi. Tu veux boire quelque chose? » cette marque de courtoisie n'est en fait qu'un prétexte pour s'éclipser dans la cuisine et envoyer plusieurs messages menaçants à Charlie. Car bien que la situation soit plutôt cocasse, Maia n'avait clairement pas envie de passer la prochaine heure à faire la discussion avec une énième conquête. « Excuse-moi pour ma réaction tout à l'heure, j'ai juste été...surprise. En général, quand des filles se pointent ici, ce n'est pas pour Charlie. » l'idée que Charlie puisse être le genre de garçons à tromper sa petite-amie l'étonnait beaucoup et curieusement, une part d'elle était aussi un peu déçue de cette découverte. Lui, qui se montrait toujours si parfait, avec ses grands principes et toutes ses valeurs, ne valait finalement pas mieux que les autres.
   
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wish we could turn back time, to the good ol’ days (maia)

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III/ brackendale, British Columbia

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