âge, lieu de naissance((35 ans)) C’est un enfant du printemps, Maxence, symbole de renaissance et d’un nouveau cycle de vie. Il est venu tard dans celle de ses parents, ce fut même une totale surprise. Le couple Delaunay, marié depuis une éternité, n’avait pas pour priorité, au départ, d’avoir des marmots comme la cuisine leur prenait déjà tout leur temps. Mais le voilà le petit Maxence, en ce 3 avril 1986. Les Delaunay avaient enfin leur petit héritier. ((Paris, France)) Naître dans une famille de cuisinier, au cœur de la capitale de la gastronomie…Le destin de Maxence semblait déjà tout tracé. Il vit le jour au cœur du XIVème arrondissement, dans le quartier de Montparnasse, alors que ses parents ont toujours vécu plus au nord, dans le prestigieux et artistique quartier de Montmartre. Au moment où Lila a perdu les eaux, elle et son mari étaient en plein repérage pour l’achat d’un nouveau restaurant.nationalité((Melting pot)) Étant né sur le sol français comme le restant de sa famille depuis des générations, Maxence en a la nationalité. Toutefois, grâce aux histoires que son grand-père lui racontait et qui étaient transmises de génération en génération, Maxence sut que, au grès des voyages des Delaunay, des gênes grecs et écossais s’était perdus ici et là. Maxence aimait l’idée d’avoir une sa famille cosmopolite. Il pourrait toujours puiser des idées de recettes dans la gastronomie de ses origines anciennes.occupation$$$$$, ((CHEF & propriétaire du restaurant, le French Gourmet)) Maxence est cuisinier depuis ses seize ans, dès qu’il a commencé son alternance au centre de formation. Avant d’intégrer la prestigieuse école de cuisine dans laquelle ses parents avaient fait leurs études, il avait déjà d’excellentes bases, perfectionnées grâce à l’école. Il est passé par tous les échelons, jusqu’à devenir enfin chef à vingt-sept ans dans l’un des restaurants familiaux en plein cœur de Paris. Même s’il était épanoui dans son travail, il avait besoin de vents nouveaux, de prendre du recul sur de nombreuses choses. Brackendale et l’achat du French Gourmet étaient parfaits pour prendre un nouveau départ, loin des Delaunay et de leur héritage si pesant.statut civil((SEUL)) Maxence rencontra son ex-femme tardivement, à 29 ans. Chef de Partie dans son restaurant, l’alchimie entre les deux s’est vite faite et ils sont devenus presque aussitôt inséparables. Un an plus tard, ils se sont dits oui à la marie et ils ont accueilli le petit Julien l’année d’après. Malheureusement, quelques mois après sa naissance, les deux ne s’entendirent plus à cause du terrible aveu de Maxence : il aimait encore Destiny avec qui il a flirté six ans puis tôt et avec laquelle il n’avait échangé qu’un baiser, mais même à l’époque, il avait ressenti de l’amour pour elle. Il fallait se rendre à l’évidence, il n’avait jamais réussi à l’oublier et à passer à autre chose. Il s’était juste voilé la face.orientation sexuelle((Hétérosexuel)) Ah les femmes, les femmes, les femmes… Plus d’une fois, il était tombé dans leur bras. Il eut, comme un peu tous les jeunes à ce moment-là, sa période coureur de jupon durant son l’adolescence. La vie de couple, très peu pour lui. Elle avait duré jusqu’à tard, d’ailleurs, mais elle s’était terminée brutalement dès qu’il avait fait la rencontre de Destiny, lorsqu’il avait 25 ans, bien qu’ils n’aient échangé qu’un simple baiser. Il avait voulu faire les choses bien avec elle, mais elle lui avait filé entre les doigts.situation familiale((Good Cop)) Papa était là pour ses trois fils, sa fierté. Il les a chéris, aimé, comme tout père normalement constitué le ferait avec ses enfants. Certes, le travail, sa carrière, les concours lui bouffaient tout son temps, mais il était toujours là pour eux, au moindre problème, il débarquait parce que sa famille était plus importante que tout le reste. Maxence était très proche de lui et avait un profond respect pour l’homme qu’il était. Il en était extrêmement fier de son père, portant toujours sur lui ce regard de petit garçon qui voyait son papa comme un super-héros. Depuis toujours, presque comme un cliché, il avait voulu lui ressembler, car il était à l’image de l’homme parfait en tout point que Maxence se faisait. ((Bad Cop)) Maman était violente. Il ne sait plus à quand remontait la première claque, le premier point, le premier coup de casserole et autre ustensile parce qu’il ne faisait pas bien ses recettes. Il ne savait pas si cette rage lui était seulement adressée ou si ses petits frères y avaient aussi le droit. Maman était dure. Elle ne voulait pas l’excellence, mais la perfection pour ne pas jeter l’opprobre sur la famille. « Tu fais honte à ton père » était sa phrase fétiche et le point sensible de Maxence comme il tenait en haute estime son paternel. À bien y réfléchir, elle était d’ailleurs plus bourrelle que mère avec son aîné, mais lui, il ne pouvait pas s’empêcher de l’aimer, de lui pardonner à chaque fois, parce que c’était « maman », celle qui l’avait mis au monde. Papa, était-il au courant de tout cela ? Oh non. Maman cachait bien son jeu — épouse modèle devant lui, diable derrière son dos. Docteur Jekyll et Mister Hyde en somme. ((Twins but triplet at heart.)) Deux après la venue de Maxence au monde, le couple Delaunay eut la joie d’accueillir Adrien et Anthony, deux beaux jumeaux nés prématurément. Maxence les avait toujours regardés avec curiosité, intrigué de voir ces deux sosies sortis du même ventre que lui. Petit, il ne comprenait pas pourquoi lui était venu tout seul et Adrien et Anthony à deux. Son père lui avait inventé une histoire avec des anges dont Maxence ne se souvenait plus très bien à l’heure actuelle, mais il se rappelait que l’histoire lui avait plus et qu’il y avait naïvement cru, prenant toutes les paroles de son père pour paroles d’Evangiles. Même si les jumeaux sont réputés pour être exclusifs et fusionnels, Maxence avait été intégré au duo comme s’ils avaient été en réalité des triplés. Encore aujourd’hui, les trois frères sont extrêmement soudés. ((Father and son)) Le 6 décembre 2017, Maxence eut cette chance merveilleuse de devenir père à son tour avec la venue au monde de son petit garçon, Julien. Dès l’instant où il avait trouvé sa place dans le ventre de sa femme, Maxence l’avait aimé intensément. Il était prêt, il avait hâte d’être père et de voir sa petite bouille. Dès qu’il l’eut pour la première fois dans ses bras, son amour pour ce petit être tout chétif s’était décuplé.à brackendale depuis((Quelques mois)) Il a eu un coup de cœur pour l’endroit, pour le local à Brackendale lorsqu’il s’était rendu au Canada dans le cadre d’un salon international de la cuisine. Maxence avait grand besoin de changement, de renouveau dans sa vie et surtout, terriblement besoin de s’émanciper de sa mère après le terrible événement qu’il y a eu entre eux l’année dernière. Mon dieu, s’il savait que la pâtisserie à côté était celle de Destiny… On dit souvent que Maxence ressemble à son père au niveau du caractère. ((Passionné)) Son père lui avait transmis l’amour de la cuisine, des bonnes choses et surtout un savoir faire. Sa mère aussi malgré ses accès de violence de plus en plus fréquents au cours de la jeunesse de Maxence. Ils lui avaient transmis ce goût du partage, leur héritage, une vie de cuisine entière. Comment Maxence ne pouvait-il pas finir passionné comme son père, son grand-père et les autres hommes de la famille avant lui ? Il se levait cuisine, mangeait cuisine, vivait cuisine, dormait cuisine… Sa vie ne tournait qu’autour de cela depuis toujours et tel un vrai passionné, Maxence s’en lassait guère. ((Energique)) Cette passion lui donnait une énergie sans faille, à croire qu’il n’était jamais fatigué. En cuisine, il était une vraie pile électrique, motivait les troupes quand il y en avait besoin, aidait quand il le fallait à la vitesse de l’éclair. La cuisine, sa seule véritable passion l’animait chaque heure, chaque jour de sa vie. C’était ce qui alimentait son moteur, ce qui lui permettait de survivre, d’oublier sa mère et ces violences qu’elle perpétrait sur lui quotidiennement. Et pourtant, malgré tout ce qu’elle faisait pour le rabaisser, son énergie l’empêchait de lâcher l’affaire. ((Extraverti)) Et même si sa mère faisait tout pour l’écraser, Maxence rayonnait, tant part sa cuisine que pour sa personnalité si joviale, conviviale, complice avec tout le monde. Maxence était sacrément social, parlait à chaque personne qu’il rencontrait, nouant des liens très facilement. Il ne savait pas se taire, jamais. Même s’il donnait l’impression de ne parler que de cuisine, il en connaissait un paquet sur tout un tas d’autres sujets, impressionnant parfois la galerie. Maxence a une bonne humeur à toute épreuve, passant son temps à sourire à tous les gens qu’il rencontre, même aux inconnus, et il était difficile de lui enlever. Son côté pile électrique l’aide à avoir cette sociabilité et un carnet d’adresses aussi long que le bras. Maxence se faisait un petit nom, dans à peu près tous les milieux parisiens, sans l’aide de ses parents et sans sa mère qui lui mettait des bâtons dans les roues. Toutefois, la violence de sa mère, le fait qu’elle soit tout le temps sur son dos et qu’elle l’ait fait travailler sans relâche en dehors des cours a laissé des séquelles sur Maxence. ((Stressé)) Il en est devenu stressé, cherchant toujours la performance. Il se mettait constamment la pression même lorsqu’elle n’était pas nécessaire. Il voyait, entendait toujours sa mère derrière lui, comme un fantôme, une ombre qui planait constamment au-dessus de sa tête, lui crachant un nombre incalculable de reproches sur absolument tout et n’importe quoi. Il n’était jamais satisfait de son travail. ((Pointilleux)) De ce fait, cherchant toujours inconsciemment la perfection dans tout ce qu’il entreprenait, Maxence était devenu pointilleux et minutieux à l’extrême. Certes, dans le monde de la cuisine gastronomique, c’était une qualité essentielle et indispensable, mais lui, il l’était au point de s’en rendre malade, presque comme si c’était un TOC incontrôlable. Il voyait toujours des défauts inexistants ou insensés dans ses assiettes, suscitant parfois la consternation de la part de ses collègues en cuisine. ((Obstiné)) À force de trop se focaliser sur la perfection, il en était devenu obstiné. C’était pire lorsqu’il était devenu chef, recherchant à tout prix la petite bête noire dans les assiettes que lui ou ses commis et chefs de partie sortaient. Il avait toujours quelque chose à redire, même quand le plat était objectivement présentable. Il préférait tout jeter et tout refaire plutôt que de lancer un plat que sa mère aurait assurément trouvé minable. Quel gâchis. ((Autoritaire)) Gare à celui ou celle qui oserait le contredire ou même le remettre en question dans cette recherche maniaque et compulsive de la perfection. Maxence était autoritaire, très directif et laissait place à aucune contestation dans SA cuisine. Il ne s’en rendait pas compte, mais en plus de se mettre sous pression, il mettait également toute la brigade sous le feu d’une pression intense et insupportable à cause de son autoritarisme aussi extrême que son obstination. Maxence était à deux doigts de devenir un chef de cuisine despotique s’il ne rectifiait pas le tir et vite. Il avait toujours cette pression invisible de la matriarche Delaunay qui lui pesait sur les épaules. ((Impulsif)) À cause de la mauvaise gestion managériale de sa cuisine en adoptant des positions dictatoriales, l’impulsivité naturelle de Maxence était exacerbée. Les disputes étaient devenues courantes, les prises de bec et les reproches inutiles avec les commis et les apprentis aussi. Et cette impulsivité ne se limitait pas qu’à sa vie professionnelle, mais aussi à son cercle d’intimes. Combien de fois avait-il pété un câble sur ses frères alors que Maxence était clairement excessif ? Un nombre incalculable de fois. Trop de choses lui pesaient. Trop de choses le détruisaient à petit feu. Il était à deux doigts du burn-out.
WINTER WONDERLAND
pseudo, prénom Apo. âge, pays 24 ans, France. type de personnage () prédéfini () scénario (x) pré-lien () inventé ; pl de @Destiny Owenspersonnage (x) permanent () éphémère.comment as-tu connu le forum ? C'est mon DC !crédits highanxietysociety & tumgir (gif) darleygraphs (ava) autres
'cause when I'd fight, you used to tell me I was brave.
TW:Maltraitance et violences intra-familiales.
17 février 2020.
« C’est comme ça que tu tiens ta cuisine, Maxence ? Tu laisses tes commis te parler comme ça ? Ressaisis-toi. Tu me fais honte. Tu fais honte à ton père, au Delaunay. »
Sa mère était une grande tragédienne, toujours dans l’exagération. Ce qu’elle reprochait à son fils ? Un énième clash qu’il avait eu avec le reste de la brigade à cause d’un service complètement foireux. Il était tard. Il était fatigué. Il n’avait qu’une envie, celle de rentrer chez lui, se glisser dans ses draps et dormir jusqu’au lendemain et attaquer une nouvelle journée de travail en oubliant cette journée chaotique. Toutefois, comme chaque soir, sa mère était venue, telle une sangsue pour jouer les contrôleuses de travail bien fait. Elle se sentait légitime et dans son bon droit étant donné que le restaurant était toujours à elle et son mari. Les Delaunay étaient si prolifiques qu’ils tenaient quatre restaurants gastronomiques dans la capitale, dont un qui avait récolté deux étoiles de la part du prestigieux Guide Michelin. Ils avaient donc un certain standing à tenir et à ses yeux le comportement de Maxence était absolument inadmissible et nuisait à leur excellente réputation dans ce milieu si fermé. Si durant toute sa vie, le jeune homme avait courbé l’échine devant Lila, aujourd’hui marquait le début de sa rébellion.
- Maman, tu m’emmerdes. Tu m’emmerdes, t’es dans MA cuisine. Les murs sont à toi et papa, certes, mais c’est MA putain de cuisine ! Alors tes avis merdiques, je m’en cogne. Mais à un point t’imagines même pas !
Il était sur le point d’exploser de colère. Les objets autour de lui subissaient son courroux, comme les casseroles, gamelles ou autres ustensiles qu’il balançait dans la plonge à faire. En répondant à sa mère de la sorte, pour la première fois de sa vie, il s’attirait ses foudres. Sans réfléchir, aveuglé par sa rage, elle attrapait le rouleau à pâtisserie, s’apprêtant à fracasser le crâne de son fils, mais Maxence, pour une fois, se défendait, parant son coup. Une bagarre entre ces deux ennemis de toujours prit place dans la cuisine. La scène était d’une violence inouïe, autant du côté de Maxence qui se libérait de ces années de maltraitance que du côté de sa mère qui n’acceptait pas cette rébellion de la part de son fils. La cuisine s’en retrouvait toute retournée et l’altercation entre les deux prit fin quand Maxence explosa l’arcade sourcilière de sa mère avec le fameux rouleau à pâtisserie. Elle tombait au sol, sonnée, réalisant à peine ce qu’il venait de se passer. Elle tentait de se rattraper au plan de travail, mais en vain. Elle était comme un poupée de chiffon. Maxence, toujours pris dans sa colère, lui hurlait, éclatant en sanglots.
- J’en peux plus maman ! J’en. Peux. Plus ! T’as bousillé ma vie, mon enfance, rien n’était jamais assez pour toi ! Rien ! Toujours plus ! Plus ! Plus ! Tu m’as traité comme une merde. Tu me traites toujours comme une merde et j’ai envie de t’étrangler ! Et j’espère que t’as pas infligé ça à Anthony et Adrien sinon j’te jure, j’te jure, mais putain…J’te tue ! J’te massacre, t’entends ?!
À bientôt 34 ans, il se libérait enfin. Elle regardait son fils, complètement hagarde avec sa joue qui se trempait de sang. Il rejetait le rouleau sur le côté, avant de s’effondrer contre l’un des meubles de cuisine, se recroquevillant sur lui-même. Avec le recul, il se rendit compte que le moment où il s’était senti vraiment vivre, c’était quand il avait rencontré Destiny, à 24-25 ans. Il l’avait connue dans le premier restaurant dans lequel il avait travaillé, avant de rejoindre l’équipe de ses parents. Elle s’occupait de la partie desserts et pâtisseries tandis que lui était du côté de la cuisine. Ils avaient malgré tout formé un duo d’enfer, donnant lieu rapidement à une amitié, et même un peu plus. Leur histoire, leur flirt était simple, tendre, vraiment romantique à la Française. Un peu cliché sur les bords, mais c’était ce dont Maxence avait eu besoin à ce moment-là. Il n’avait jamais parlé des violences qu’il avait subies et de la maltraitance de sa mère à Destiny, parce qu’il en avait extrêmement honte, parce que c’était un sujet tabou, parce qu’il aimait sa mère, parce qu’il ne voulait pas que sa famille explose et parce qu’il ne voulait pas entacher ces moments de simplicité et de pureté avec la fille qu’il aimait. Il eut le cœur brisé quand elle décida d’en choisir un autre que lui. Ce fut déchirant, se sentant un peu plus détruit et mort à l’intérieur. Il lui en a beaucoup voulu, la détestant même, mais dès l’instant où elle était repartie en Amérique, elle lui avait manqué instantanément.
Il ne savait pas pourquoi, mais, là, assis par terre, il pensait soudainement à elle. Il aurait adoré sentir ses bras autour de lui, sentir qu’elle le serrait contre elle et qu’elle le consolait, lui garantissant des jours meilleurs. Destiny l’aurait sûrement compris s’il lui avait parlé de sa relation avec sa mère. Elle l’aurait sûrement aidé à dépasser sa honte, à briser le mur du silence parce que seul, il s’en sentait incapable. Au lieu des bras de la fille qu’il aimait, ce sont ceux de sa mère qu’il gagnait. Après qu’elle eut repris ses esprits, elle avait rampé vers son fils et comme à chaque fois, après chaque violence infligée, elle se comportait en mère aimante et le serrait contre lui. « Pardon mon ange…Pardon… » lui murmurait-elle, son nez se perdant dans les cheveux de son fils comme elle s’évertuait à couvrir son crâne de baisers tendres tout en caressant sa chevelure avec une douceur inimaginable, totalement invraisemblable quand on avait vu la violence dont elle était capable. Et comme à chaque fois, Maxence n’arrivait pas à la repousser, parce qu’il l’aimait, parce qu’il avait l’espoir que les choses changent.
Pour justifier sa blessure à l’arcade sourcilière, Lila dit à son mari qu’elle s’était fait agresser dans la rue, d’un commun accord avec son fils après qu’il l’eut déposée devant l’hôpital avant de repartir. Le père Delaunay avait insisté pour qu’elle dépose plainte, même contre X, mais elle avait bien entendu refusé. Monsieur Delaunay avait lâché l’affaire, sachant sa femme têtue et les choses étaient reparties comme si de rien était. Excepté du côté de Maxence. Cette bagarre l’avait marqué. La sensation d’étouffer, d’un burn-out imminent l’enveloppait, l’envahissait, le travaillait des mois durant à la suite de cette altercation. Ce n’est qu’à la fin de l’année 2020 qu’il décida de partir pour un tout autre projet : ouvrir son propre restaurant. Il trouva le lieu parfait, en un éclair, un véritable coup de cœur après un petit week-end détente à Brackendale alors qu’il avait œuvré toute la semaine dans un salon international de cuisine dans la grande ville la plus proche. Certes, cet achat, il l’avait fait sur un coup de tête, mais il en avait besoin, pour se reconstruire, loin de son passé douloureux. Son arrivée à Brackendale marquait le début d’une nouvelle vie pour Maxence. La seule chose qui lui manquait, c’était son fils resté en France avec sa mère, mais il savait qu’il le verrait dès qu’il en aurait l’occasion.
Dernière édition par Maxence Delaunay le Mer 21 Avr - 14:38, édité 3 fois
statut civil : Divorcée depuis quelques années déjà. Pas d'enfant. Non pas qu'elle n'ait pas souhaité en avoir, mais plusieurs fausses couches l'ont empêché de réaliser son rêve de maternité.
orientation : hétéro
gif :
occupation : Etait infirmière dans un service d'urgences à Vancouver. A accepté le poste vacant d'infirmière proposé par le cabinet médical de Brackendale, le temps de vendre la maison où elle a grandit, dont elle vient d'hériter suite au décès de sa mère.
habitation : une maison en bois en orée des bois et champs de maïs, à la sortie del a ville dans le quartier de Cheeky Road.
en vrac : A été enlevée à l'âge de six ans, dans un champs de maïs près de chez elle. Portée disparue durant huit longs mois, elle fut retrouvée au bord d'une route, errante, dans un piteux état. Le traumatisme qu'elle a subit fait qu'elle n'a quasi aucun souvenir de cette période, malgré ses efforts pour les récupérer.
A quitté Brackendale lorsqu'elle sorti du lycée. N'était jamais revenue depuis, de retour en ville depuis peu (février 2021).
âge : Le quart de siècle est passé et elle a un peu de mal à s'en remettre
statut civil : Célibataire, éternelle romantique, elle a envie d'une belle histoire mais fait un blocage des suites de sa première relation sérieuse. Dès que les choses deviennent sérieuses, elle fuit.
orientation : Hétérosexuelle, seuls les hommes la font chavirer
occupation : étudiante en droit et vendeuse au Pearl's 2nd's les week-ends
âge : vingt-neuf ans (04.04) ; tu traînes te converses sur le bitume. le nombre rond qui s’approche et que tu repousses par tous les moyens, comme si passer à une nouvelle décennie allait te faire grandir alors que tu n’en as pas la moindre envie.
statut civil : en couple ; tu l’aimes, tu crois. tu t’accroches à ce qu’elle est capable de te faire ressentir. tu l’aimes, du mieux que tu peux, pour oublier qu’y en aura toujours une autre dans un coin de ta caboche.
orientation : hétérosexuel ; t’as jamais éprouvé une quelconque attirance pour les hommes. y a que les femmes qui t’attirent. leurs grands yeux et leurs sourires. et quand elles rient, y a ton cœur qui chavire.
gif :
occupation : animateur 3D ; tu passes ta vie derrière deux ou trois écrans d’ordinateurs. tu donnes vie aux personnages, aux décors et objets des jeux vidéo.
habitation : #432 ; 1a ; outside ; appartement que tu partages avec ta meilleure amie et ton chien. assez d'espace pour vous trois sans que vous ayez besoin de vous marcher dessus. c'est pas le grand luxe pour autant. juste ce qu'il faut. que tu persistes à dire.
je valide x1000 ton choix de faceclaim tout comme ton choix de pl d'ailleurs et le début de fiche promet et et et (re)bienvenue
Lesley Childers
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pseudo : marie.
pronom irl : elle/her.
id card : jmomoa @valtersen.
personnage : permanent
trigger warning : tw joués : violence, mentions de mort, maladie. je ne veux pas jouer : inceste, cruauté animale, (uc).
pronom : il/he.
âge : quarantenaire qui r'vient sur les traces d'sa propre vie, remonte l'temps à regret.
statut civil : un endurci célibataire qui a laissé les espoirs d'histoires, au passé.
orientation : hétérosexuel, n'a jamais cherché plus loin. l'a déjà eu assez d'prises de tête rien qu'avec des nanas.
occupation : bûcheron aujourd'hui, autre chose sans doute demain. habitué des courts contrats et des jobs qui n'demandent pas de s'poser trop longtemps. sa seule fidélité réservée à la liberté pure et dure.
âge : (vingt-quatre ans), les responsabilités qu'elle a trop longtemps porté sur ses épaules et qu'elle fuit désormais, en s'offrant ce nouveau souffle de jeunesse et d'innocence.
statut civil : (célibataire), s'amourache toujours des mauvais garçons, férocement persuadée de ne pas mériter mieux.
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occupation : (étudiante vétérinaire), à défaut de vouloir sauver les Hommes qui n'ont pas été tendres avec elle..
habitation : (dryden street, #219, building) appt 1C, en colocation avec quatre autres garçons.
en vrac : accro à son téléphone - bénévole dans un refuge pour animaux - n’est pas une bonne cuisinière et se contente souvent de céréales en guise de repas - ancienne fumeuse - lit son horoscope chaque matin - les cauchemars sont récurrents depuis qu’elle est gamine et les crises d’angoisse ne sont jamais loin - adore jouer aux jeux vidéos, même si elle est nulle - dit un peu trop de grossièreté - n’aime pas le sport
id card : a. vikander // av@bigbadwolf, sign@tumblr.
personnage : permanent
multicomptes : enzo (m. ventimiglia).
nbre de mots : minimum 500 mots, tout dépend de l'inspiration.
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disponibilités : open (○○○) ⠇
pronom : elle.
âge : (trente-quatre ans) › l'âge qui défile, mais qui ne lui fait plus peur.
statut civil : (en couple) › le coeur battant timidement pour cet homme rencontré il y a seulement quelques mois.
orientation : (pansexuelle) › elle a toujours expliqué qu'elle tombait amoureuse d'une personnalité et non d'un sexe, bien que depuis plusieurs années, ce sont les hommes qui partagent sa vie.
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occupation : (professeur de chimie) › elle travaille à la quest university depuis plusieurs années comme professeur de chimie, une matière dans les sciences qu'elle a toujours adorée, qui l'a toujours fascinée.
habitation : (#213, cheeky road) › une belle maison plain-pied qu'elle a pu s'offrir il y a plusieurs années grâce à son job, habitation qu'elle partage avec sa fille.
en vrac : elle n'a jamais quitté brackendale // professeur de chimie à la quest university depuis plusieurs années, métier qu'elle pratique avec passion // depuis toutes petite et encore maintenant, elle va pêcher tous les dimanches avec son père // elle se balade très souvent à vélo, même quand il fait froid ou qu'il pleut // porte des lunettes pour lire et elle ne le cache pas // même si elle pense beaucoup à la planète et aux animaux, elle reste une vraie mangeuse de viande // elle adore cuisiner.
rebienvenue parmi nous et très bon choix de scénario. j'ai zappé de te répondre sur discord sorry. bon courage pour ta fiche.
Isidora Hastings
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pseudo : Summers
id card : Sophie Turner
personnage : permanent
nbre de mots : Entre 500 et 1500 environs.
code couleur : Indianred
disponibilités : Disponible pour 2 sujets.
trigger warning : tw joués : Tout est possible, et je suis curieuse alors...
âge : 23 ans et pas toutes ses dents. Elle en as casser une en partie quand elle avait 9 ans en tombant de vélos. Elle ne l'a jamais fait réparer, ça fais partie de sa bizarerie.
statut civil : En cours de débourrage ça marche ? Libre comme l'air, indomptable et sauvage, elle joue avec les gens, refusant de perdre une personne de plus dans sa vie.
orientation : Toutsexuelle, elle ne se pose pas la questions, tant que la personne l'attire. Mais quand elle veux quelque chose, ou quelqu'un, elle fais tout pour l'avoir !
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occupation : Étudiante à mi-temps quand l'ennui lui rappel à l'ordre qu'elle à des cours à suivre. Elle ne sait même plus vraiment dans quel domaine au fond, car elle dort la plupart du temps quand elle y va ou joue à emmerder sa jumelle. Travail au garage FRED'S AUTOMOTIVE les weekends, elle aime avoir les mains dans le cambouis. Bien que c'est pas le métier de ses rêves. Et la semaine, elle fait quelques heures au NEPTOON RECORDS, elle adore la bonne musique rock, puis faut bien payer les factures.
habitation : Une maison à LAWSON AVENUE, avec trois autres personnes, une autre fille et deux ga, comme ça pas de jaloux. Une maison de taille moyenne aux allures un peu délabré. Si les garçons essaie de la maintenir propre, les filles, s'en fiche pas mal et les soirées à l'improviste y sont assez nombreuse.
en vrac : Son second prénom est Willow ✲ A une jumelle de 9 minutes plus grande ✲ Orpheline depuis ses 7 ans, elles ont été élevées par leurs grand-parents ✲ Mamé est morte il y à 5 ans et Papé l'an passé ✲ Isis à jamais surmonté ses pertes ✲ Elle à jusqu'à ses 17 ans été très proche de sa jumelle. Mais la maladie de mamé et la lâcheté d'Isi à séparée les jumelles ✲ Cela fais 3 ans qu’Isis à pris une colocation, laissant la maison de ses grands-parents à sa sœur ✲ Est en études, les même que sa jumelle, pour suivre la volonté de ceux qui l'on élevées mais n'en à en vrai rien à faire ✲ Perdue, c'est le moins qu'on puisse le dire, mais ça fais si longtemps que c'est devenue un quotidien et une façon de vivre ✲ Elle aime la mal bouffe et boire des sodas, elle est accro aux fêtes en tout genre, boire et oublier, juste oublier ✲ Elle n'est pas violente physiquement, mais ne se laisse jamais faire et peut l'être méchante verbalement ✲ Adore aller à des concerts ! C'est SON truc, elle pourrait y passer sa vie. ✲ Elle mange tout le temps des bonbons, elle en a toujours dans son sac et à souvent une sucette entre les lèvres. ✲ Elle dort très peu, elle est insomniaque à tendance somnambule ✲ Elle est bordélique et se complait dans son bordel, ne surtout pas y toucher ! ✲ Voudrait plus être comme sa soeur, mais n'y arrive pas ✲ Elle est naturellement blonde mais depuis ses 14 ans se teins les cheveux en roux.
nbre de mots : minimum 500 mots, ça dépend de l'inspiration.
code couleur : #444641.
pronom : il.
âge : (quarante-et-un ans) ; le crise déjà passée, il ne compte plus les années qui défilent depuis déjà bien longtemps.
statut civil : (célibataire) ; il a préféré la quitter en même temps qu'il a abandonné sa carrière, préférant redémarrer à zéro sur de bonnes bases car après tout, il savait, qu'elle était toxique pour lui.
orientation : (hétérosexuel) ; son regard ne se pose que sur des courbes délicates et féminines, bien trop hypotonisé par elles depuis toujours.
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occupation : (coach sportif) ; faute de ne plus pouvoir pratiquer le sport dans lequel il était bon, il remplace l'entraîneur de l'équipe de hockey de l'université.
Le délai de 5 jours alloué à ta fiche et à la réservation de ton avatar est maintenant terminé. Celle-ci est donc déplacée dans les fiches en danger et tu as deux jours pour nous donner de tes nouvelles en demandant un délai ou en signalant ta fiche comme terminée.
N'oublie pas que aucun délai pour l'avatar ne sera accordé. Donc si quelqu'un souhaite l'avatar que tu portes, il est libre de le prendre et de le réserver.
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous contacter.
trigger warning : tw joués : écrire ici. je ne veux pas jouer : écrire ici.
pronom : il
âge : quarante-et-un ans, un âge qu'il n'assume qu'à moitié, coincé dans sa trente-neuvième année, comme si ajouter une dizaine au compteur était trop difficile.
statut civil : marié, depuis huit ans maintenant, une belle histoire à la base, aujourd'hui, les choses sont compliquées ; il l'aime sa femme, mais ils se déchirent plus qu'ils ne s'épaulent.
orientation : bisexuel, les plus grandes histoires de sa vie ont été avec des femmes, mais il apprécie aussi les compagnies des hommes.
gif :
occupation : ancien champion de snowboard, il est désormais coach sportif et professeur de yoga dans un centre de bien-être. Il donne également des cours de snowboard à des enfants, à l'occasion.
habitation : il habite avec sa femme dans un vieux chalet au 22 cheeky road ; élégant chalet avec un jardin bien fleuri.
tout est bon, mais il faudra l'avis de @Destiny Owens avant de valider
Isley Vaughn
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pseudo : rivendell, lucie.
pronom irl : elle.
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nbre de mots : minimum 500 mots, tout dépend de l'inspiration.
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pronom : elle.
âge : (trente-quatre ans) › l'âge qui défile, mais qui ne lui fait plus peur.
statut civil : (en couple) › le coeur battant timidement pour cet homme rencontré il y a seulement quelques mois.
orientation : (pansexuelle) › elle a toujours expliqué qu'elle tombait amoureuse d'une personnalité et non d'un sexe, bien que depuis plusieurs années, ce sont les hommes qui partagent sa vie.
gif :
occupation : (professeur de chimie) › elle travaille à la quest university depuis plusieurs années comme professeur de chimie, une matière dans les sciences qu'elle a toujours adorée, qui l'a toujours fascinée.
habitation : (#213, cheeky road) › une belle maison plain-pied qu'elle a pu s'offrir il y a plusieurs années grâce à son job, habitation qu'elle partage avec sa fille.
en vrac : elle n'a jamais quitté brackendale // professeur de chimie à la quest university depuis plusieurs années, métier qu'elle pratique avec passion // depuis toutes petite et encore maintenant, elle va pêcher tous les dimanches avec son père // elle se balade très souvent à vélo, même quand il fait froid ou qu'il pleut // porte des lunettes pour lire et elle ne le cache pas // même si elle pense beaucoup à la planète et aux animaux, elle reste une vraie mangeuse de viande // elle adore cuisiner.
@Isley Vaughn ; j'aimerais garder le personnage si c'est possible.
Isley Vaughn
ADMIN ☆ never be royals.
lost and insecure
messages : 392
pseudo : rivendell, lucie.
pronom irl : elle.
id card : a. vikander // av@bigbadwolf, sign@tumblr.
personnage : permanent
multicomptes : enzo (m. ventimiglia).
nbre de mots : minimum 500 mots, tout dépend de l'inspiration.
code couleur : #CCB6AB
disponibilités : open (○○○) ⠇
pronom : elle.
âge : (trente-quatre ans) › l'âge qui défile, mais qui ne lui fait plus peur.
statut civil : (en couple) › le coeur battant timidement pour cet homme rencontré il y a seulement quelques mois.
orientation : (pansexuelle) › elle a toujours expliqué qu'elle tombait amoureuse d'une personnalité et non d'un sexe, bien que depuis plusieurs années, ce sont les hommes qui partagent sa vie.
gif :
occupation : (professeur de chimie) › elle travaille à la quest university depuis plusieurs années comme professeur de chimie, une matière dans les sciences qu'elle a toujours adorée, qui l'a toujours fascinée.
habitation : (#213, cheeky road) › une belle maison plain-pied qu'elle a pu s'offrir il y a plusieurs années grâce à son job, habitation qu'elle partage avec sa fille.
en vrac : elle n'a jamais quitté brackendale // professeur de chimie à la quest university depuis plusieurs années, métier qu'elle pratique avec passion // depuis toutes petite et encore maintenant, elle va pêcher tous les dimanches avec son père // elle se balade très souvent à vélo, même quand il fait froid ou qu'il pleut // porte des lunettes pour lire et elle ne le cache pas // même si elle pense beaucoup à la planète et aux animaux, elle reste une vraie mangeuse de viande // elle adore cuisiner.
y a pas de soucis. amuse-toi bien avec ce nouveau personnage du coup.
vérification des listing Tu as fini ta fiche et tu es validé‧e ? Si ça ce n'est pas magnifique. L'une des premières choses à faire c'est d'aller vérifier si ton personnage a correctement été ajouter dans les différents listings du forum. Si ce n'est pas là cas, n'hésite pas à mp un membre du staff.
se trouver des liens Tu as fait les vérifications nécessaires ? Parfait! Il faut maintenant te lancer dans l'aventure et de partir à la recherche de liens pour ton personnage. Pour t'aider, tu peux poster ta fiche de liens que nous demandons de tenir à jour au maximum (surtout si tu souhaites un multicompte).
clubs & activités Brackendale étant une petite ville, il y a pas mal de clubs créés en ville pour réunir les habitants. Si tu souhaites que ton personnage en intègre un, alors n'hésite pas à te rendre dans le sujet adéquat pour l'y inscrire. Des petits sujets groupés seront organisés de temps en temps pour réunir les membres d'un même club.
bien s'intégrer L'intégration. Le bête noir de tous les forums. Sur LSS, nous souhaitons que tu te sentes bien parmi nous! C'est pourquoi nous avons mis en place un sujet regroupant les différentes manières de s'intégrer, se créer des liens inrp etc. N'hésite donc pas à aller faite ton/ta curieux‧euse. Et sache que si tu ressens le moindre problème, le staff est là pour t'aiguiller au mieux.
On espère de tout coeur que tu te plairas sur LSS et que ce forum deviendra rapidement ta nouvelle maison. Si tu as la moindre question, le moindre soucis, n'hésite pas à contacter Isley Vaughn ou Charlie Byers qui se feront un plaisir de te répondre le plus rapidement possible.
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amuse-toi bien avec ce nouveau personnage du coup.